Ma mission à Mogadiscio
Publié le 18 octobre 2017, modifié le 12 décembre 2018
Ce premier février 2001 s’annonçait comme une journée difficile à Paris : la RATP était de nouveau en grève et chacun, dans les bureaux de La Défense, élaborait de subtiles tactiques pour rentrer chez soi, lorsque la journée de travail se terminerait. Et, ce jour-là, chez Total, on parlait plus de co-voiturage que de forage, plus de protestations catégorielles que de productions pétrolières.
Dans ce contexte morose qu’une sombre journée d’hiver venait renforcer, je prenais plaisir à détailler le billet d’avion d’Air Madagascar qui m’enverrait durant trois jours sur les plages de l’Océan Indien (ou du moins, je voulais le croire). On m’avait demandé, en effet, d’accompagner au pied levé un groupe de collègues de Total qui venaient de négocier un contrat d’évaluation technique avec le gouvernement de Mogadiscio. Ce voyage ne devait être qu’une simple formalité : le texte de l’accord était fixé et je devais être du voyage aux seules fins de représenter la société signataire. Mais cet après-midi, bien loin des plages, j’étais coincé sur l’autoroute A1, sous une pluie battante que de lourds nuages venaient déverser sur mon taxi...
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